Auteurs
Auteurs récemment ajoutés
Thèmes
Thèmes au hasard
Citations
Dernières citations mises en ligne
Un journaliste de Libération, c’est un porte-plume de la banque Rothschild…
« Un journaliste de Libération, c’est un porte-plume de la banque Rothschild. Un journaliste du Monde, c’est un porte-flingue de la banque Lazard ! Les plumitifs de l’extrême gauche et le grand capital se sont alliés pour détruire les nations et les traditions. »
Jean-Yves Le Gallou
Cinquième Journée de la réinformation de Polémia, 13 octobre 2012
Entourez-vous de gens qui pensent comme vous…
« Entourez-vous de gens qui pensent comme vous et essayez d’agrandir peu à peu le cercle de ceux que vous jugez comme fiables et fidèles. Dans la société de demain, peu importe désormais qui est riche ou pauvre, influent ou impuissant ; tout ce qui comptera, comme en temps de guerre, sera le degré de confiance, que nous pourrons avoir en notre prochain. »
David Engels
Que faire ? Vivre avec le déclin de l’Europe, Blue Tiger Media, 2019
Que faire ? Arrêtez de jouer au citoyen modèle…
« Que faire ?
C’est simple : arrêtez de jouer au citoyen modèle qui, en bon chrétien, tend bravement l’autre joue quand on vient le gifler. Au contraire : cessez de jouer au bétail, indignez-vous, pour reprendre la célèbre formule de Stéphane Hessel, et exprimez votre colère par des actes, tout en ne vous attendant pas à pouvoir changer le cours des choses du jour au lendemain à vous tout seul. L’objectif n’est pas – ou en tout cas pas encore – celui de lancer un nouvel assaut de la Bastille, mais plutôt celui de montrer, par vos actions, qu’une résistance au système politique et social existe bel et bien et ose se manifester en paroles et en actes. »
David Engels
Que faire ? Vivre avec le déclin de l’Europe, Blue Tiger Media, 2019
Courage, persévérance, fidélité…
« Courage, persévérance, fidélité et espoir, voici les forces qui devront nous animer – envers et contre tous nos ennemis. »
David Engels
Que faire ? Vivre avec le déclin de l’Europe, Blue Tiger Media, 2019
Rendons-nous à l’évidence : les choses ne changeront pas de sitôt…
« Rendons-nous à l’évidence : les choses ne changeront pas de sitôt. Les citoyens européens, de plus en plus abrutis par les médias, l’endoctrinement scolaire, l’inculture généralisée et le matérialisme gangrénant l’ensemble de nos interactions sociales, ne seront capables d’un soubresaut de fierté et de solidarité que quand il sera très, peut-être même trop tard. »
David Engels
Que faire ? Vivre avec le déclin de l’Europe, Blue Tiger Media, 2019
Même si nous nous sentons parfois seuls…
« Ainsi, même si nous nous sentons parfois seuls, démunis et même défaitistes, notre nombre est sans doute beaucoup plus grand que ne veulent l’imaginer la plupart de ces hommes politiques dont toute la carrière est bâtie sur la déconstruction des valeurs traditionnelles, sur la destruction de la solidarité entre être humains et sur la peur exercée sur l’esprit de ceux qui oseraient s’écarter du chemin tordu du politiquement correct. »
David Engels
Que faire ? Vivre avec le déclin de l’Europe, Blue Tiger Media, 2019
Et combien en sommes-nous encore à nous opposer à l’avilissement de notre histoire ?
« Et combien en sommes-nous encore à nous opposer à l’avilissement de notre histoire, de notre civilisation, de nos traditions, par ceux qui, sous couvert de multiculturalisme, d’ouverture et d’individualisme, tentent de déconstruire non seulement tous les réseaux traditionnels de solidarité – familles, religions, ethnies, États, cultures –, mais visent aussi un brassage culturel, un nivellement social et un formatage idéologique rendant impossible toute résistance à ce futur État mondial qui se dessine à l’horizon ? Bref, combien en sommes-nous encore de vrais, de derniers Européens, pour qui la solidarité n’est pas seulement une formule électorale, mais une composante innée de notre style de vie, et pour qui les valeurs de notre histoire ne sont pas seulement des formes mortes, mais des racines vivantes ? »
David Engels
Que faire ? Vivre avec le déclin de l’Europe, Blue Tiger Media, 2019
Je n’ai plus de boussole morale…
« (…) comme des millions de mes contemporains, je n’ai plus de boussole morale depuis qu’on me jure de tous côtés que Dieu n’existe pas ou n’est plus qu’un alibi de ceci ou de cela. Comment voulez-vous que je m’y retrouve ? Comment voulez-vous que je me soumette à l’ordre si rien ne le fonde et que j’admire le chaos si rien n’en sort ? Comment voulez-vous que j’admire soit la statuaire nazie et la peinture stalinienne, soit les déjections de l’art contemporain ? En fait, je serais très heureux qu’il existât une norme (afin de m’offrir – comme tout le monde — les plaisirs de la violer) mais sur quoi la bâtir ? Malraux a certainement dû dire, en cherchant bien, qu’une civilisation meurt lorsque meurent ses Dieux. »
Jean Cau
L’agonie de la vieille, éditions de La Table ronde, coll. La table Ronde de combat, Les brûlots n°15, 1970
Le judéo-christianisme est à bout de souffle…
« Le judéo-christianisme est à bout de souffle et de course qui, depuis 2 000 ans, a fondé l’ordre, n’importe lequel et fût-ce sous d’étranges avatars. (Le messianisme marxiste fut l’un d’eux.) Mais cette annonce est si grave que nul n’ose la formuler catégoriquement. »
Jean Cau
L’agonie de la vieille, éditions de La Table ronde, coll. La table Ronde de combat, Les brûlots n°15, 1970
La double personnalité de l’UE…
« L’Europe centrale dévoile en s’éveillant la double personnalité de l’UE : un havre où perdurer et un projet auquel se soumettre, le “Docteur Jekyll” du visage unitaire du continent et le “Mister Hyde” du cosmopolitisme sans visage. »
Thibaud Gibelin
Pourquoi Viktor Orbán joue et gagne. Résurgence de l’Europe centrale, Fauves Éditions, 2020
Ce ne sont plus des peuples qui se rencontrent…
« Au terme de la maturation médiévale, les nations d’Europe centrale ont assimilé la civilisation romaine sans perdre leur originalité. Alors ce ne sont plus des peuples qui se rencontrent, mais des pays qui se côtoient. »
Thibaud Gibelin
Pourquoi Viktor Orbán joue et gagne. Résurgence de l’Europe centrale, Fauves Éditions, 2020
Viktor Orbán connaît les faveurs du destin…
« Aux antipodes de l’Europe Centrale, Viktor Orbán connaît les faveurs du destin. Son engagement de jeunesse contre la domination soviétique concorde avec l’effondrement du monde de Yalta ; la Russie s’éloigne longtemps du bassin des Carpates. Vingt ans plus tard, la crise structurelle de l’Occident libéral lui confère une marge de manœuvre, habilement exploitée, pour édifier un État illibéral. Ces circonstances favorables donnent au parcours politique de Viktor Orbán son aspect météorique. »
Thibaud Gibelin
Pourquoi Viktor Orbán joue et gagne. Résurgence de l’Europe centrale, Fauves Éditions, 2020
L’Europe centrale est admirablement pourvue…
« L’Europe centrale est admirablement pourvue dans les temps actuels, parce que son histoire la prépare de façon privilégiée au dépassement d’une modernité qui lui est étrangère et néfaste. […] Aucun doute ni aucun dogme ne remet en cause ce concert de petites nations qui, symboliquement, s’identifient et se rassemblent au gré des siècles à Visegrád. »
Thibaud Gibelin
Pourquoi Viktor Orbán joue et gagne. Résurgence de l’Europe centrale, Fauves Éditions, 2020
La passion de la liberté, le prix des sacrifices qu’elle exige…
« Les pays de Visegrád savent la passion de la liberté, le prix des sacrifices qu’elle exige, mais aussi les illusions dont elle se nourrit. Ils savent que les continuités recèlent plus de libertés que les ruptures : on ne peut pas faire moins libéral. »
Thibaud Gibelin
Pourquoi Viktor Orbán joue et gagne. Résurgence de l’Europe centrale, Fauves Éditions, 2020
Défendre joyeusement ce que nous sommes…
« Défendre joyeusement ce que nous sommes exige de passer à l’offensive ; d’affirmer que le peuple existait avant et existera après l’âge économique totalitaire. Même qu’un jour prochain, l’économie qui repose sur les épaules du peuple et l’accable lui reviendra comme sa propriété. Encore faut-il qu’un peuple existe et sache dire : “nous”. Ce “nous” que le jeune Viktor Orbán assène en 1989 sur la place des Héros, quand il affirme que c’est la jeune Hongrie tout entière qui gît dans les cercueils alignés au pied de l’estrade. Ce “nous” formulé constitutionnellement dans la Loi fondamentale adoptée en 2011 ; ce “nous” proclamant les droits imprescriptibles de la nation hongroise face au déferlement migratoire du siècle nouveau. »
Thibaud Gibelin
Pourquoi Viktor Orbán joue et gagne. Résurgence de l’Europe centrale, Fauves Éditions, 2020
La conscience de l’appartenance…
« La conscience de l’appartenance n’est complète que lorsqu’elle s’enracine dans une conscience de l’essence et de l’origine. Cette pleine et entière acception congédie le conservatisme pris comme une pensée en relation avec le progressisme. Un conservatisme compagnon de route du délitement libéral : bon à en arrondir les angles et affermir le pas en avant, prélude au suivant. Et les peuples de dépérir au fil de la marche forcée. »
Thibaud Gibelin
Pourquoi Viktor Orbán joue et gagne. Résurgence de l’Europe centrale, Fauves Éditions, 2020
Certains hommes jouent dans l’histoire un rôle de catalyseur…
« Certains hommes jouent dans l’histoire un rôle de catalyseur. Ils offrent à une époque son visage. L’insurrection du réel apparaît en Europe centrale sous les traits de Viktor Orbán. De la dissidence au système communiste dans les années 1980 à la dissidence au modèle libéral dans les années 2010, la trajectoire politique de ce dirigeant hors-norme épouse ou anticipe l’évolution des mentalités en Hongrie et en Europe centrale. »
Thibaud Gibelin
Pourquoi Viktor Orbán joue et gagne. Résurgence de l’Europe centrale, Fauves Éditions, 2020
Le monde n’est plat que de l’abaissement des peuples…
« Le monde n’est plat que de l’abaissement des peuples. »
Thibaud Gibelin
Pourquoi Viktor Orbán joue et gagne. Résurgence de l’Europe centrale, Fauves Éditions, 2020