« (…) Ras­sem­blés comme une meute, ils fré­mis­saient autour de celui qui savait réveiller dans leur sang engour­di les ins­tincts pri­mi­tifs de la pour­suite et du carnage. »

Gabriele D’Annunzio
Le Feu, trad. Georges Hérelle, 1900, Édi­tions Des Syrtes, 2000