« Pour ma part, je loue donc aussi Agésilas d’avoir, pour garder l’agrément des Grecs, dédaigné l’hospitalité du Roi. Et j’admire aussi qu’il ait pensé que ce n’était pas, entre eux deux, celui qui avait le plus de richesses et gouvernait le plus de monde qui devait s’enorgueillir le plus, mais celui qui était le meilleur commandant aux meilleurs. »
Xénophon
Agésilas, trad. Michel Casevitz, éditions Les Belles Lettres, 2008