« Je l’ai dit et répété : aimer la corrida, (plus profondément et justement exprimé, aimer les toros) c’est espérer, c’est croire à la Terre promise, c’est passer des après-midi à être l’orpailleur qui, quand le soir tombe, n’aperçoit dans son tamis que quelques paillettes d’or. »
Jean Cau
Les Oreilles et la queue, 1961, éditions Gallimard, coll. Hors série Connaissance, 1990