« Le vrai che­va­lier se devait de maî­tri­ser trois capa­ci­tés dis­tinctes : Connaître les sept arts libé­raux : le tri­vium” (gram­maire, rhé­to­rique, dia­lec­tique) et le qua­dri­vium” (arith­mé­tique, géo­mé­trie, musique, astro­no­mie) ; Culti­ver sept pra­tiques guer­rières : équi­ta­tion, nage, tir à l’arc, lutte, fau­con­ne­rie, échecs, poé­sie ; Lut­ter contre sept vices : glou­ton­ne­rie, ébrié­té, luxure, colère, men­songe, ava­rice, médisance. »

Antoine Schü­lé
Guerre et Lit­té­ra­ture, Tome 1, Du Moyen Âge à 1914, édi­tions de l’École de Guerre, 2019