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Jean Mabire
Découvrez 27 citations de Jean Mabire
J’aimais ceux qui résistent quand tous abandonnent…
« J’aimais ceux qui résistent quand tous abandonnent, ceux qui refusent quand tous acceptent, ceux qui restent fidèles quand tous trahissent. »
Jean Mabire
Thulé : le soleil retrouvé des Hyperboréens, éditions Robert Laffont, 1978, éditions Pardès, 2002
Le samouraï est l’homme par excellence…
« De même que la fleur de cerisier est la fleur par excellence, de même parmi les hommes, le samouraï est l’homme par excellence. »
Jean Mabire
Les Samouraï, éditions Balland, 1972
Les Nordiques sont…
« Les Nordiques sont, avant tout, des individualistes. Mais des individualistes qui savent vivre ensemble. »
Jean Mabire
La Varende entre nous, éditions Présence de La Varende, 1999
Ma trinité était toute différente…
« Ma trinité était toute différente : la Normandie d’abord, puis la communauté des peuples nordiques, enfin l’Europe impériale. »
Jean Mabire
La Varende entre nous, éditions Présence de La Varende, 1999
Dès le début de son action…
« Dès le début de son action, Pearse avait compris que les hommes qui veulent retrouver leurs racines doivent d’abord honorer ceux qui les ont précédés sur cette voie magnifique et ingrate du retour vers soi-même. »
Jean Mabire
Patrick Pearse, une vie pour l’Irlande, éditions Terre et Peuple, 1998
À entendre les chants et à admirer les danses des Flamands comme des Bretons…
« À entendre les chants et à admirer les danses des Flamands comme des Bretons, je ressentis le terrible manque de ce que l’écrivain Saint-Loup devait nommer “une patrie charnelle”. Brusquement, sur cette terre du Vexin, j’avais la certitude que rien ne pouvait s’entreprendre qui ne fut placé sous le double signe d’une terre et d’un peuple. Pour moi, désormais, ce ne pouvait être que la Normandie et rien d’autre. »
Jean Mabire
La Varende entre nous, éditions Présence de La Varende, 1999 (révélation lors du Solstice de Marquemont le 19 juin 1948)
Voici 8 000 ans commençait pour nous l’aventure néolithique…
« Voici 8 000 ans commençait pour nous l’aventure néolithique. Je l’appelais révolution parce que j’y discernais l’apparition d’un état d’esprit nouveau. La volonté y tenait la première place et elle n’allait pas cesser de dominer notre monde, jusqu’à l’avènement des idées suicidaires aujourd’hui à la mode. Passer de la cueillette et de la chasse à l’agriculture et à l’élevage représente un bond en avant prodigieux. En un sens, dans cette plaine nordique si cruelle aux paysans aux prises avec un climat impitoyable, c’était un défi qui rejoignait la légende hellène de Prométhée dérobant le feu aux dieux. »
Jean Mabire
Thulé : le soleil retrouvé des Hyperboréens, éditions Robert Laffont, 1978, éditions Pardès, 2002
Notre monde est en train de naître…
« Notre monde est en train de naître. Invisible comme les fleurs et les blés de demain, il fait son chemin sous la terre. Nous avons déjà nos racines, solidement enfoncées dans la nuit des âges, ancrées dans le sol de nos peuples, nourries du sang de nos anciens, riches de tant de siècles de certitude et de courage que nous sommes les seuls à ne pas renier. »
Jean Mabire
Les solstices, histoire et actualité, Le Flambeau, 1991
Le militant révolutionnaire est aujourd’hui…
« Le militant révolutionnaire est aujourd’hui celui qui choisit l’organisation, la discipline, la légalité, le travail. »
Jean Mabire
La torche et le glaive, éditions Libres opinions, 1994
Tous ces jeunes gens bouillaient d’impatience…
« Tous ces jeunes gens bouillaient d’impatience de laisser la plume et l’encrier pour serrer la dure crosse de bois d’un revolver. »
Jean Mabire
Patrick Pearse, une vie pour l’Irlande, éditions Terre et Peuple, 1998
Je ne pense pas que je puisse apprendre quelque chose…
« Je ne pense pas que je puisse apprendre quelque chose aux gens de mon île. Mais ce matin, quand le soleil de l’an nouveau se lève, je sais qu’il va éclairer, avant mon île, tout un continent, là-bas vers l’est, qui émerge du sommeil et de la si longue nuit.
Immense et rouge, le soleil illumine une année nouvelle. Les rochers sont comme des aiguilles sombres. Des paillettes jaune pâle scintillent sur la mer. Mon île, mon pays, mon peuple, mes amis saluent le soleil.
Et lentement, tu surgis du sommeil. J’ai veillé sur toi pendant toute cette nuit, ô mon Europe aux longs cheveux d’or dénoués sur mon épaule. Ouvre les yeux, vois, nous allons partir ensemble, pour une île immense, hérissée de cathédrales et de stades. Nous naviguerons du Cap Nord au détroit de Gibraltar, de la mer d’Irlande au golfe de Corinthe. Nous découvrirons les Shetlands et les Cyclades, les Baléares et les Lofoten, îles innombrables de ta couronne, merveilleux royaume de ta beauté et de ta puissance, sous le grand tournant du soleil.
Viens, c’est une année nouvelle. »
Jean Mabire
L’Esprit public, 1963
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