« L’Europe, ce n’est pas le monde de Belphégor, c’est la civilisation qui honore la femme : déesse, mère ou guerrière. »
Jean-Yves Le Gallou
Ni Lampedusa, ni Bruxelles, être Européen !, vidéo, 20 juin 2015
Un projet de l'Institut ILIADE pour la longue mémoire européenne
« L’Europe, ce n’est pas le monde de Belphégor, c’est la civilisation qui honore la femme : déesse, mère ou guerrière. »
Jean-Yves Le Gallou
Ni Lampedusa, ni Bruxelles, être Européen !, vidéo, 20 juin 2015
« Je sens peser sur mes épaules misérables le poids démesuré du plus glorieux des héritages. À moi, qui ne suis rien et qui n’apporte rien, la civilisation fait un cadeau gigantesque : le patrimoine de l’Europe. Il est fait de trésors et de souvenirs. Chacun de nous, je crois, à Londres et à Vienne, à Berlin et à Madrid, à Athènes et à Varsovie, à Rome et à Paris, à Sofia et à Belgrade, doit ressentir le même drame. Chacun de nous est le dernier des Européens. »
Jean de Brem
Le testament d’un Européen, éditions de La Table Ronde, 1964
« Nous ne sommes pas seulement une culture, des valeurs, un “mode de vie” ou autres abstractions utilisées pour nous définir dans les frontières du politiquement correct : nous sommes aussi des peuples d’ethnies européennes sans lesquels il n’y aura plus ni de France ni de civilisation européenne. »
Julien Rochedy
Entretien à Valeurs Actuelles, 19 décembre 2019
« Les Européens à qui on veut faire avaler sans broncher un des mouvements de population les plus colossaux de l’histoire ne sont pas des citoyens qu’on veut convaincre, mais des chiens de Pavlov qu’on s’emploie à dresser. »
Slobodan Despot
Entretien accordé à la revue Rébellion, nº 55, juillet-août 2012
« Si les maîtres de l’UE avaient cru un seul instant à leurs propres valeurs, ils eussent intégré la Yougoslavie en bloc plutôt que d’en ramasser un à un les éclats tranchants et inutiles. Qu’on se rappelle les noms de MM. Badinter et Kohl, Kouchner et Solana, Juppé et Blair, Wojtyla, Havel et Habsbourg ! Ils auront, par sottise, inculture ou perversion, amené l’Europe une fois de plus à se déchirer et se bombarder elle-même avant de se mettre sous la tutelle du gouvernement mondial. »
Slobodan Despot
Entretien accordé à la revue Rébellion, nº 55, juillet-août 2012
« L’Occident anglais et américain s’est toujours opposé à cette organisation germano-russe des bassins fluviaux centre-européens, ceux du Rhin et du Danube. Car elle aurait permis un trafic pétrolier soustrait à leur contrôle maritime en Méditerranée. La perspective de cette formidable synergie euro-russe était le cauchemar des puissances occidentales. Elle explique bon nombre de traditions militaro-diplomatiques anglaises et américaines (…) »
Robert Steuckers
« Les implications géopolitiques des Accords de Munich en 1938, Allocution de Robert Steuckers à la Commission Géopolitique de la Douma d’État, Moscou, le 30 septembre 1998 », Nouvelles de Synergies européennes n°37, octobre-décembre 1998
« C’est un vieux pays que le nôtre. Solide de ses années comme les chênes de leurs cernes. Notre-Dame a huit cent cinquante ans, la France en a mille et ses racines sont profondes ! Si profondes qu’elles viennent caresser les grottes où les hommes du néolithique peignaient des mystères flamboyants. »
Erik L’Homme
Le regard des princes à minuit, éditions Gallimard Jeunesse, coll. Scripto, 2014
« Nous avons énormément changé. Pour prendre l’exemple français, en 2008, nous avons perdu dix hommes à Uzbin, non loin de Kaboul, dans une embuscade. Le Président de la République de l’époque y est allé, pour montrer en quelque sorte sa sympathie, etc… Est-ce que on aurait imaginé, cinquante ans plus tôt, Charles de Gaulle se rendant en Algérie parce qu’on aurait perdu dix hommes dans une embuscade alors qu’on les perdait toutes les deux semaines ? Non. (…) L’opinion publique a changé, on n’encaisse plus les pertes. Et c’est certainement lié aussi à notre sentiment d’amenuisement démographique. C’est-à-dire que en 1920, il y a à peu près 33% de ce que l’on appelait à l’époque « Blancs » (on les appellerait aujourd’hui les Occidentaux) ; aujourd’hui, les Occidentaux représentent maximum 12%. Alors, quand on a 1,5 enfant par femme, on peut difficilement le risquer. »
Gérard Chaliand
La guerre informelle : maquis et conflits, podcast de la revue Conflits, 19 mars 2020
« La corrida déstabilise l’Européen moderne pour deux raisons : d’abord, elle nous confronte à la nature sauvage ; ensuite, elle nous confronte à la mort. La première mise à mort à laquelle j’ai assisté fut un choc terrible : j’étais triste pour le taureau et aussi enthousiasmé par le spectacle. »
Gabriel Robin
« Les Traditions vivantes », intervention à la 7ème journée de réinformation de Polémia, Paris, 18 octobre 2014
« Il faut saluer la tâche de ceux qui un peu partout, et de manière résistante, obstinée, minoritaire, habile, opèrent un travail culturel, un travail de moines et de fourmis, pour entrevoir la flamme de l’identité européenne. Car on ne peut pas faire la guerre si l’on ne sait pas qui l’on est, on ne va nulle part si l’on ignore d’où l’on vient. »
Guillaume Faye
Avant-guerre : chronique d’un cataclysme annoncé, éditions de l’AEncre, 2003