« Au cours de la période d’après-guerre, où étaient renversées toutes les valeurs convenues, j’avais souvent pensé et fait part à autrui que c’était le moment ou jamais de ressusciter le vieil idéal japonais, où se combinaient les lettres et les arts guerriers, l’art et l’action ? »
Yukio Mishima
Le soleil et l’acier, 1968, trad. Tanguy Kenec’hdu, éditions Gallimard, coll. Du monde entier, 1973, éditions Gallimard, coll. Folio, 1993