« J’ai l’impression de regarder ce pays élever frénétiquement son propre bûcher funéraire. »
Enoch Powell
Discours des fleuves de sang, allocution du 20 avril 1968 à Birmingham, La Nouvelle Librairie éditions, 2019
Un projet de l'Institut ILIADE pour la longue mémoire européenne
« J’ai l’impression de regarder ce pays élever frénétiquement son propre bûcher funéraire. »
Enoch Powell
Discours des fleuves de sang, allocution du 20 avril 1968 à Birmingham, La Nouvelle Librairie éditions, 2019
« La gauche a voulu changer radicalement de prolétariat, au seul motif que l’ancien l’avait déçue par son conservatisme. Elle a donc tout misé sur les immigrés, dont elle a décidé de faire un prolétariat de rechange. »
Jacques Julliard
« Pourquoi la gauche s’effondre », Éléments n°159, mars 1016
« Chaque fois que les règles de l’alternance unique conduisent à confier de nouveau à un pouvoir de gauche le soin de “gérer loyalement le capitalisme”, on peut être sûr que ce dernier ne manquera pas de dissimuler cette gestion libérale sous un flux continu de réformes dites “sociétales” (mariage pour tous, vote des étrangers, dépénalisation du cannabis, lutte contre l’accent circonflexe, etc.). »
Jean-Claude Michéa
Notre ennemi, le capital. Notes sur la fin des jours tranquilles, éditions Flammarion, coll. Climats, 2017
« Toute question est interdite sur l’immigration où l’on n’accepte que la récitation du catéchisme : l’immigration est une chance pour la France ; la France est depuis toujours multiculturelle, cosmopolite, métissée ; l’islam est une religion de paix, de tolérance et d’amour. On sait que tout cela n’est pas vrai. »
Michel Onfray
« Dire la vérité, toute la vérité, rien que la vérité », Éléments n°157, octobre 2015
« La promotion de l’idéal diversitaire justifie un harcèlement médiatique permanent pour amener les populations à s’y convertir et pour identifier ceux qui résistent à ses sirènes. Il est même nécessaire de heurter le sens commun, de le déstabiliser et lui faire perdre toute valeur d’évidence, pour qu’il ne subsiste qu’à la manière de stéréotypes à congédier et de préjugés à déconstruire – cela permettra de démasquer ceux qui s’y attachent exagérément. C’est ce qu’on appellera pudiquement des campagnes pour faire évoluer les mentalités. »
Mathieu Bock-Côté
L’Empire du politiquement correct, Les Éditions du cerf, 2019
« Les Européens à qui on veut faire avaler sans broncher un des mouvements de population les plus colossaux de l’histoire ne sont pas des citoyens qu’on veut convaincre, mais des chiens de Pavlov qu’on s’emploie à dresser. »
Slobodan Despot
Entretien accordé à la revue Rébellion, nº 55, juillet-août 2012
« Nous sommes arrivés à un tournant. Jusqu’à présent, la situation et les différences sociales ont rendu l’idée même d’intégration inaccessible : cette intégration, la plupart des immigrés ne l’ont jamais ni conçue ni souhaitée. Leur nombre et leur concentration ont fait que la pression vers l’intégration qui s’applique d’habitude aux petites minorités, n’a pas fonctionné. Nous assistons aujourd’hui au développement de forces qui s’opposent directement à l’intégration, par l’apparition de droits acquis qui maintiennent et accentuent les différences raciales et religieuses, dans le but d’exercer une domination, d’abord sur les autres migrants et ensuite sur le reste de la population. »
Enoch Powell
Discours des fleuves de sang, allocution du 20 avril 1968 à Birmingham, La Nouvelle Librairie éditions, 2019
« Les théories de Hobbes sont à l’origine de toutes les théories de la table rase qui, sous des formes diverses, se succèdent en Occident depuis trois cents ans. L’humanité, ses sociétés, ses générations successives sont des tabulas rasas, des tablettes de cire sur lesquelles le temps a écrit des histoires, des conceptions du monde et des pratiques sociales. On pourrait, en chauffant un peu la tablette, faire fondre la cire qui redeviendrait lisse, “rase” et donc vierge, et l’on pourrait donc écrire dessus, en toute liberté, un nouveau droit, de nouvelles sociétés, un homme nouveau. “Du passé faisons table rase”, dit l’Internationale. Ces théories sont l’origine du constructivisme politique, de la théorie des constitutions politiques modernes et de la prétention à rompre avec une nature et des héritages. Dans le temps présent, la table rase sous-tend l’idéologie immigrationniste puisque rien, dans cette conception, n’empêche de voir des individus allogènes s’agréger librement et de plein droit au contrat social, perpétuellement “ouvert” sur un avenir à construire ensemble par accord mutuel. »
Lionel Rondouin
Ce que nous sommes. Aux sources de l’identité européenne, Philippe Conrad dir., édition Institut Iliade / Pierre-Guillaume de Roux, 2018
« Le football, qui fédère des supporteurs autour d’une équipe, est devenu un instrument de l’immigration et du métissage. La victoire de l’équipe de France, lors de la coupe du monde de 1998, fut présentée comme une réussite “black, blanc, beur”. Un modèle qui s’est exporté. Dans d’autres pays d’Europe et vers le rugby. »
Jean-Yves Le Gallou
Seize thèses sur la société de propagande, Polémia, 15 juin 2019
« Européens conscients et fiers de l’être, nous voilà pour ainsi dire condamnés à être insoumis, dissidents et rebelles. Insoumis à l’injonction du “vivre ensemble” au sein de sociétés multiculturelles, en voie d’africanisation et d’islamisation accélérées. Dissidents du nouvel ordre mondial marchand, de la pensée conforme et du caquetage médiatique. Rebelles enfin, aujourd’hui comme hier, à toute forme de totalitarisme. Rebelles par fidélité. »
Grégoire Gambier
Conclusion à Ce que nous sommes. Aux sources de l’identité européenne, Philippe Conrad dir., édition Institut Iliade / Pierre-Guillaume de Roux, 2018