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La jeunesse est éternité…

« Éprise de volon­té, la jeu­nesse est à la fois éter­ni­té, vie et des­tin. Cette jeu­nesse, telle que l’incarne Domi­nique Ven­ner, est avant tout un être au monde, un rap­port à la vie, à la mort, à l’amour, à ce qui fait de nous des hommes, des femmes, des Euro­péens fiers de ce qu’ils sont et aptes à agir sur ce qu’ils seront. »

Solenn M.
Domi­nique Ven­ner. La flamme se main­tient, édi­tions La Nou­velle Librai­rie, coll. Car­touches, 2023

Aujourd’hui, être rebelle, c’est être fidèle, fidèle à nos enfants, fidèle à nos pères…

« Aujourd’hui, être rebelle, c’est être fidèle, fidèle à nos enfants, fidèle à nos pères qui ont construit et nous ont légué ce monde, fidèles à nous-mêmes et à l’image que nous nous fai­sons de nous. Nous sommes donc rebelles par fidé­li­té, par liber­té — liber­té qui se prend et jamais ne se demande. »

Solenn M.
Domi­nique Ven­ner. La flamme se main­tient, édi­tions La Nou­velle Librai­rie, coll. Car­touches, 2023

Cohérence du corps, de l’âme et de l’esprit…

« En prô­nant cet idéal aris­to­cra­tique, il s’agit bien d’affirmer qu’éthique et esthé­tique ne font qu’un : cohé­rence du corps, de l’âme et de l’esprit… au ser­vice de valeurs immuables que sont l’honneur, le cou­rage, la force et la fidé­li­té… trans­po­sables aus­si bien au mas­cu­lin qu’au fémi­nin. Fina­le­ment, c’est le fon­de­ment du com­por­te­ment des vieux Romains qui res­sur­git en nous : gra­vi­tas, vir­tus, digni­tas. »

Solenn M.
Domi­nique Ven­ner. La flamme se main­tient, édi­tions La Nou­velle Librai­rie, coll. Car­touches, 2023

Tout n’est pas fini…

« Tout n’est pas fini, tout peut recom­men­cer, nul déclin n’est irré­ver­sible, toute déca­dence est pro­vi­soire. C’est l’action de la volon­té des hommes qui com­mande l’his­toire, nul fata­lisme. L’histoire est tou­jours ouverte, la messe n’est jamais com­plè­te­ment dite, les dés jamais com­plè­te­ment jetés. Tout bien pesé, il n’y a pas de loi de la décré­pi­tude, l’impré­vu est la règle. »

Fran­çois Bousquet
Domi­nique Ven­ner. La flamme se main­tient, édi­tions La Nou­velle Librai­rie, coll. Car­touches, 2023

Il ne s’agirait pas de mépriser le monde…

« Il ne s’a­gi­rait pas de mépri­ser le monde, ni de mani­fes­ter l’ou­tre­cui­dance de le chan­ger. Non ! Il suf­fi­rait de ne rien avoir de com­mun avec lui. L’é­vi­te­ment me parais­sait le mariage de la force avec l’é­lé­gance. Orches­trer le repli me sem­blait une urgence. Les règles de cette dis­si­mu­la­tion exis­ten­tielle se rédui­saient à de menus impé­ra­tifs : ne pas tres­saillir aux sou­bre­sauts de l’ac­tua­li­té, réser­ver ses colères, choi­sir ses levées d’arme, ses goûts, ses écœu­re­ments, demeu­rer entre les murs des livres (…). »

Syl­vain Tesson
Sur les che­mins noirs, 2016, édi­tions Gal­li­mard, coll. Folio, 2019

Je ne suis pas de ceux qui disent que leurs actions ne leur ressemblent pas…

« Je ne suis pas de ceux qui disent que leurs actions ne leur res­semblent pas. Il faut bien qu’elles le fassent, puis­qu’elles sont ma seule mesure, et le seul moyen de me des­si­ner dans la mémoire des hommes, ou même dans la mienne propre ; puisque c’est peut-être l’im­pos­si­bi­li­té de conti­nuer à s’ex­pri­mer et à se modi­fier par l’ac­tion qui consti­tue la dif­fé­rence entre l’é­tat de mort et celui de vivant. »

Mar­gue­rite Yourcenar
Mémoires d’Ha­drien, 1974, édi­tions Gal­li­mard, coll. Folio, 2014

La relation entre le mode de vie des Indo-Européens et leur idéologie est souvent inversée…

« La rela­tion entre le mode de vie des Indo-Euro­péens et leur idéo­lo­gie est sou­vent inver­sée : ain­si Mari­ja Gim­bu­tas pré­sente en ces termes le contraste entre la vieille Europe” agri­cole, paci­fique et éga­li­taire et les Indo-Euro­péens pas­teurs, guer­riers et aris­to­cra­tiques : une éco­no­mie fon­dée sur l’agriculture, l’autre sur l’élevage et le pâtu­rage ont pro­duit deux idéo­lo­gies contras­tées”. Pour­quoi donc poser la rela­tion en ce sens ? Rien obli­geait la vieille Europe” à pri­vi­lé­gier l’agriculture ; rien n’interdisait au peuple des kour­ganes de s’y consa­crer exclu­si­ve­ment : le sol de l’Ukraine s’y prête. Mais, appa­rem­ment, leur men­ta­li­té ne s’y prê­tait pas. De même, il n’y a pas lieu de faire appel à des chan­ge­ments cli­ma­tiques pour expli­quer les migra­tions des Indo-Euro­péens : leur goût des larges espaces, leur volon­té de domi­na­tion et leur désir d’une nom­breuse des­cen­dance ne se conci­liaient que si l’excédent de la popu­la­tion s’en allait cher­cher ailleurs gloire, puis­sance et fortune. »

Jean Hau­dry
Les Indo-Euro­péens (1981), Presses Uni­ver­si­taires de France, coll. « Que sais-je ? », 1992

La « génération Mitterrand » est morte, engluée dans le ridicule…

« La géné­ra­tion Mit­ter­rand” est morte, engluée dans le ridi­cule et para­ly­sée par l’échec. Il faut main­te­nant que se lève la géné­ra­tion dis­si­dente. À elle, main­te­nant, d’imaginer l’inimaginable. »

Guillaume Faye
L’Archéofuturisme. Tech­no-science et retour aux valeurs ances­trales, édi­tions L’Æncre, 1998 et 2011, édi­tions L’Æncre/La Nou­velle Librai­rie, coll. Ago­ra, 2023

La mesure de ce qui peut encore être sauvé…

« La mesure de ce qui peut encore être sau­vé dépend en fait de l’exis­tence, ou non, d’hommes qui se tiennent debout devant nous non pour prê­cher des for­mules mais pour être des exemples, non pour aller à la ren­contre de la déma­go­gie et du maté­ria­lisme des masses, mais pour réveiller des formes dif­fé­rentes de sen­si­bi­li­té et d’in­té­rêt. À par­tir de ce qui peut encore sub­sis­ter par­mi les ruines, recons­truire len­te­ment un homme nou­veau, l’a­ni­mer grâce à un esprit et une vision de la vie bien pré­cis, le for­ti­fier par l’adhé­sion intran­si­geante à cer­tains prin­cipes – tel est le vrai problème. »

Julius Evo­la
Orien­ta­tions (Orien­ta­men­ti), 1950, trad. Phi­lippe Baillet, édi­tions Par­dès, 2011

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