« À la destruction de la Terre fait écho l’obscurcissement du Ciel. »
Baptiste Rappin
De l’exception permanente : Théologie de l’organisation Vol 2, Les éditions Ovadia, coll. Les carrefours de l’être, 2018
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« À la destruction de la Terre fait écho l’obscurcissement du Ciel. »
Baptiste Rappin
De l’exception permanente : Théologie de l’organisation Vol 2, Les éditions Ovadia, coll. Les carrefours de l’être, 2018
« Pourquoi autour de nous est-ce que l’eau se trouble et la terre pustule ? C’est parce qu’elle est enfiévrée par un streptocoque virulent : le FRIC. »
Bernard Charbonneau
Il court, il court le fric…, éditions Opales, 1996
« C’est pourquoi l’écologie doit à tout prix comprendre une dimension esthétique et lutter contre le laid, une pollution au moins aussi grave que celle de l’air, de l’eau et des cieux. Aussi, ceux qui veulent, sous prétexte de transition écologique, peupler nos campagnes d’éoliennes, se trompent largement : on ne pourra sauver la planète en détruisant les paysages. »
Eugénie Bastié
« Pour un souverainisme vert », Front Populaire n°1, été 2020
« Limite, foyer, prudence, beauté : tels devraient être les points cardinaux d’une écologie authentique. Il faudrait lui en ajouter une cinquième : l’écologie de la conscience, c’est-à-dire le droit de préserver son âme de la publicité, du bruit, de la pollution lumineuse et de tout ce qui dans le monde moderne “conspire contre toute forme de vie intérieure” (Bernanos). »
Eugénie Bastié
« Pour un souverainisme vert », Front Populaire n°1, été 2020
« Nous avons ravagé notre propre monde tout en rêvant de nous affranchir de notre nature. Nous avons travaillé à notre perte, cherchant dans les noirceurs de la technique les moyens de rendre l’humanité obsolète. »
Erik L’Homme
Un peu de nuit en plein jour, éditions Calmann-Lévy, 2019
« Mais est-ce si différent en Occident où règne la religion de la consommation effrénée, où tout est sacrifié au mythe ravageur de la croissance, où les populations sont trompées par des concepts creux destinés à rendre supportable le grand suicide qui consiste à pressurer la Terre à outrance ? »
Erik L’Homme
Des pas dans la neige. Aventures au Pakistan, éditions Gallimard Jeunesse, coll. Pôle fiction, 2010
« Quand on est seul, on est libre d’imaginer tout ce qu’on veut, on rêve à sa guise, on se sent bien, sans doute parce que la pensée n’est pas polluée par celle des autres, car la pollution commence là. »
Henri Vincenot
La Billebaude, éditions Denoël, 1978
« Quand on est seul, on est libre d’imaginer tout ce qu’on veut, on rêve à sa guise, on se sent bien, sans doute parce que la pensée n’est pas polluée par celle des autres, car la pollution commence là. »
Henri Vincenot
La Billebaude, éditions Denoël, 1978
« Cela m’écœure de me débarrasser des objets. Dans sa boulimie de production, la modernité crée des produits sans avenir. Le capitalisme, c’est la réduction de l’intervalle entre le moment où l’on achète un objet et où le remplace. »
Sylvain Tesson
Éloge de l’énergie vagabonde, Éditions des Équateurs, 2007