« Tant qu’on aura un fusil derrière la porte, des bûches dans la cheminée et des enfants au berceau, on sera maîtres chez nous ! »
Dominique Venner
Dictionnaire amoureux de la chasse, éditions Plon, coll. Dictionnaire amoureux, 2006
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« Tant qu’on aura un fusil derrière la porte, des bûches dans la cheminée et des enfants au berceau, on sera maîtres chez nous ! »
Dominique Venner
Dictionnaire amoureux de la chasse, éditions Plon, coll. Dictionnaire amoureux, 2006
« Je voudrais voir des armes aux mains de tous les Irlandais. Ce serait un signe de santé. »
Patrick Pearse, cité par Jean Mabire
Patrick Pearse, une vie pour l’Irlande, éditions Terre et Peuple, 1998
« L’Allemagne brûlait sourdement dans quelques cerveaux hardis. […] L’Allemagne était là où on luttait pour elle ; elle se montrait là où des ennemis en armes voulaient s’emparer de ses biens, elle brillait d’un éclat radieux là où ceux qui étaient pénétrés de son esprit risquaient pour elle le dernier enjeu. »
Ernst von Salomon
Les Réprouvés (Die Geächteten), 1930, trad. Andhrée Vaillant et Jean Kuckenberg, éditions Plon, coll. Feux croisés, 1931
« On ne fait pas la révolution avec des mouchoirs ou des ballons. Ni avec des gens sages d’ailleurs. L’odeur de la révolution, c’est celle de la poudre. »
Erik L’Homme
Déchirer les ombres, éditions Calmann-Lévy, 2018
« J’ai choisi l’océan comme terrain de confrontation, comme terrain de bataille, car l’océan, c’est la réalité dans ce qu’elle a de plus dur, de plus exigeant. Pour lutter contre son pouvoir terrifiant, les valeurs humaines telles que l’intelligence, l’expérience et une inflexible volonté de vaincre sont mes armes. »
Gérard d’Aboville
Cité dans Carnets d’aventures, présentés par Sylvain Tesson, La Guilde européenne du raid / Presses de la Renaissance, 2007
« En parcourant le camp, Achille fait armer ses guerriers myrmidons. On croirait voir des loups carnassiers, le cœur plein d’une indicible ardeur, qui vont dans la montagne attaquer le grand cerf ramé, puis le dévorent – de tous, le sang rougit alors les bajoues ; en bande, ils vont laper l’eau noire d’une source avec leurs langues minces, tout en crachant le sang de la bête égorgée, car, si leur cœur reste intrépide en leur poitrine, leur ventre est oppressé : ainsi, les conducteurs et les chefs des Myrmidons accourent tous auprès du vaillant écuyer d’Achille aux pieds rapides. Au milieu d’eux se tient l’Eacide fougueux ; il stimule les chars et les hommes en armes. »
Homère
Iliade, Chant XVI, Préparatifs des Myrmidons, vers 800 – 725 av. notre ère
« L’insoumis est en rapport intime avec la légitimité. Il se définit contre ce qu’il perçoit comme illégitime. Face à l’imposture ou au sacrilège, il est à lui-même sa propre loi par fidélité à la légitimité bafouée. Cela signifie être à soi-même sa propre norme par fidélité à une norme supérieure. S’en tenir à soi-même devant le néant. L’insoumission relève d’abord de l’esprit avant de recourir aux armes. »
Dominique Venner
Un samouraï d’Occident. Le Bréviaire des insoumis, éditions Pierre-Guillaume de Roux, 2013
« Tous ces jeunes gens bouillaient d’impatience de laisser la plume et l’encrier pour serrer la dure crosse de bois d’un revolver. »
Jean Mabire
Patrick Pearse, une vie pour l’Irlande, éditions Terre et Peuple, 1998
« Art. 4. Lorsque la première offense est un démenti, l’offenseur doit demander pardon en terme exprès, ou échanger deux coups avant toute excuse, ou trois avant toute explication ; ou sinon continuer à faire feu jusqu’à tant que l’une des parties essuie une blessure légère.
Art. 21. Les seconds doivent tenter une conciliation avant la rencontre, ou bien après un échange de feu ou de coups jugé suffisant.
Art. 22. Toute blessure assez sérieuse pour troubler les nerfs et nécessairement, faire trembler la main, met fin aux hostilités pour ce jour-là.
Art. 25. Si les seconds se querellent et résolvent eux aussi de se battre, ce doit être en même temps que les principaux duellistes, et perpendiculairement à eux ; ou bien côte à côte, à distance de cinq pas, s’ils se battent à l’épée. »
Ben Schott
Code irlandais du duel, Assises de Clonmell (1777), Les Miscellanées de Mr Schott, 2005
« Notre place est dehors, notre place est à l’air libre, sous la nuit claire, l’arme au bras, tandis qu’au ciel scintillent les étoiles. Que les autres poursuivent leurs festins. Nous autres, au dehors, dans une garde tendue, fervente et sûre, nous sentons déjà l’aube, dans l’allégresse de nos cœurs. »
José Antonio Primo de Rivera, 1934, cité par Olivier Grimaldi
Présence de José Antonio, Les Bouquins de Synthèse nationale, 2013
« Et voilà qu’ils pleuraient de joie en caressant leurs sabres ! Leurs armes oubliées, rouillées, avilies, mais qui leur apparurent comme une virilité perdue, car seules elles permettent à l’homme de créer le monde. Et ce fut le signal de la rébellion, laquelle fut belle comme un incendie !
Et tous, ils moururent en hommes ! »
Antoine de Saint-Exupéry
Citadelle, éditions Gallimard, 1948