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Thème

Citations sur l'immigration

Cette intégration, la plupart des immigrés…

« Nous sommes arri­vés à un tour­nant. Jusqu’à pré­sent, la situa­tion et les dif­fé­rences sociales ont ren­du l’idée même d’intégration inac­ces­sible : cette inté­gra­tion, la plu­part des immi­grés ne l’ont jamais ni conçue ni sou­hai­tée. Leur nombre et leur concen­tra­tion ont fait que la pres­sion vers l’intégration qui s’applique d’habitude aux petites mino­ri­tés, n’a pas fonc­tion­né. Nous assis­tons aujourd’hui au déve­lop­pe­ment de forces qui s’opposent direc­te­ment à l’intégration, par l’apparition de droits acquis qui main­tiennent et accen­tuent les dif­fé­rences raciales et reli­gieuses, dans le but d’exercer une domi­na­tion, d’abord sur les autres migrants et ensuite sur le reste de la popu­la­tion. »

Enoch Powell
Dis­cours des fleuves de sang, allo­cu­tion du 20 avril 1968 à Bir­min­gham, édi­tions La Nou­velle Librai­rie, 2019

Les théories de Hobbes sont à l’origine de toutes les théories de la table rase…

« Les théo­ries de Hobbes sont à l’origine de toutes les théo­ries de la table rase qui, sous des formes diverses, se suc­cèdent en Occi­dent depuis trois cents ans. L’humanité, ses socié­tés, ses géné­ra­tions suc­ces­sives sont des tabu­las rasas, des tablettes de cire sur les­quelles le temps a écrit des his­toires, des concep­tions du monde et des pra­tiques sociales. On pour­rait, en chauf­fant un peu la tablette, faire fondre la cire qui rede­vien­drait lisse, rase” et donc vierge, et l’on pour­rait donc écrire des­sus, en toute liber­té, un nou­veau droit, de nou­velles socié­tés, un homme nou­veau. Du pas­sé fai­sons table rase”, dit l’Internationale. Ces théo­ries sont l’origine du construc­ti­visme poli­tique, de la théo­rie des consti­tu­tions poli­tiques modernes et de la pré­ten­tion à rompre avec une nature et des héri­tages. Dans le temps pré­sent, la table rase sous-tend l’i­déo­lo­gie immi­gra­tion­niste puisque rien, dans cette concep­tion, n’empêche de voir des indi­vi­dus allo­gènes s’agréger libre­ment et de plein droit au contrat social, per­pé­tuel­le­ment ouvert” sur un ave­nir à construire ensemble par accord mutuel. »

Lio­nel Rondouin
Ce que nous sommes. Aux sources de l’identité euro­péenne, Phi­lippe Conrad dir., édi­tion Ins­ti­tut Iliade / Pierre-Guillaume de Roux, 2018

Le football est devenu un instrument de l’immigration…

« Le foot­ball, qui fédère des sup­por­teurs autour d’une équipe, est deve­nu un ins­tru­ment de l’immigration et du métis­sage. La vic­toire de l’équipe de France, lors de la coupe du monde de 1998, fut pré­sen­tée comme une réus­site black, blanc, beur”. Un modèle qui s’est expor­té. Dans d’autres pays d’Europe et vers le rugby. »

Jean-Yves Le Gallou
Seize thèses sur la socié­té de pro­pa­gande, Polé­mia, 15 juin 2019

Nous voilà condamnés à être insoumis, dissidents et rebelles…

« Euro­péens conscients et fiers de l’être, nous voi­là pour ain­si dire condam­nés à être insou­mis, dis­si­dents et rebelles. Insou­mis à l’injonction du vivre ensemble” au sein de socié­tés mul­ti­cul­tu­relles, en voie d’africanisation et d’islamisation accé­lé­rées. Dis­si­dents du nou­vel ordre mon­dial mar­chand, de la pen­sée conforme et du caque­tage média­tique. Rebelles enfin, aujourd’hui comme hier, à toute forme de tota­li­ta­risme. Rebelles par fidélité. »

Gré­goire Gambier
Conclu­sion à Ce que nous sommes. Aux sources de l’identité euro­péenne, Phi­lippe Conrad dir., édi­tion Ins­ti­tut Iliade / Pierre-Guillaume de Roux, 2018

Au moment où le fanatisme islamique détruit méthodiquement le patrimoine…

« La nature comme socle, l’excellence comme but, la beau­té comme hori­zon”.
C’est l’ultime mes­sage que nous a lais­sé Domi­nique Ven­ner et nous res­sen­tons clai­re­ment aujourd’hui l’importance que revêt le troi­sième élé­ment de ce trip­tyque fon­da­teur. Au moment où le fana­tisme isla­mique détruit métho­di­que­ment le patri­moine archéo­lo­gique et artis­tique orien­tal et où le pré­ten­du art contem­po­rain” impose par­tout sa lai­deur et ses pro­vo­ca­tions déri­soires, il est deve­nu impos­sible de faire l’économie d’une réflexion sur le rap­port que les Euro­péens ont, au fil du temps, entre­te­nu avec la beauté.
Celle des pay­sages où se mani­feste, de Delphes à Bro­cé­liande, le souffle de l’esprit, celle des sanc­tuaires où, de Véze­lay à Chartres, ils ont affir­mé leur foi, celle des palais où le beau a légi­ti­mé le pou­voir… Dans ses diverses mani­fes­ta­tions, l’art euro­péen s’est impo­sé, contre la ten­ta­tion ico­no­claste venue d’Orient, comme le reflet de la vie, comme le moyen d’exprimer la trans­cen­dance que recèle le monde. »

Phi­lippe Conrad
La beau­té comme hori­zon, allo­cu­tion au deuxième col­loque de l’Ins­ti­tut Iliade, Paris, Mai­son de la Chi­mie, 25 avril 2015

Le modèle assimilationniste français est en faillite…

« Le modèle assi­mi­la­tion­niste fran­çais est en faillite. L’intégration répu­bli­caine est une illu­sion : les Mérah, Koua­chi ou Cou­li­ba­ly ont bien obte­nu admi­nis­tra­ti­ve­ment la natio­na­li­té fran­çaise. Mais ils n’étaient Fran­çais ni par les ori­gines, ni par la culture, ni par les sen­ti­ments. En Scan­di­na­vie, en Grande Bre­tagne et en Bel­gique, le modèle mul­ti­cul­tu­ra­liste est lui aus­si un échec. »

Jean-Yves Le Gallou
Pour la pré­fé­rence de civi­li­sa­tion, allo­cu­tion au troi­sième col­loque de l’Institut Iliade, Paris, Mai­son de la Chi­mie, 9 avril 2016

La France a perdu le privilège, sur son sol, d’imposer son mode de vie…

« La France a per­du le pri­vi­lège, sur son sol, d’imposer son mode de vie, son modèle cultu­rel. On n’a plus le droit d’exiger qu’on vive à Rome comme les Romains’. On peut juste récla­mer la coexis­tence. Ain­si émerge le nou­veau concept de Vivre ensemble’. C’est un nou­veau pas, un nou­veau recul ; la nation fran­çaise tente la jux­ta­po­si­tion, à la liba­naise, de com­mu­nau­tés auto­nomes qu’on renonce à fondre ensemble. Avec seule­ment un règle­ment de copro­prié­té : le code laïc, que beau­coup rejettent, d’ailleurs. C’est aux citoyens fran­çais de s’adapter et de raser les murs, tête basse. Le temps est venu de la colo­ni­sa­tion à rebours et de l’assimilation à l’envers. »

Phi­lippe de Villiers
Le moment est venu de dire ce que j’ai vu, édi­tions Albin Michel, 2015

Il n’y a pas de volonté d’assimiler des peuples à notre culture…

« Vincent Peillon, ancien ministre de l’Éducation natio­nale, esti­mait qu’il était du rôle de l’école d’ arra­cher les enfants à tous les déter­mi­nismes sociaux et cultu­rels”. Par cette décla­ra­tion il sou­hai­tait pro­mou­voir l’idée d’une socié­té post-tra­di­tion­nelle, en par­tie parce que lui, et ceux qui l’ont pré­cé­dé, n’ont pas su régler le pro­blème d’une socié­té fran­çaise qui voit coha­bi­ter une mul­ti­pli­ci­té de tra­di­tions cultu­relles et reli­gieuses (aux racines par­fois fort éloi­gnées) depuis désor­mais qua­rante ans. Le grand effa­ce­ment de notre culture tra­di­tion­nelle doit faci­li­ter l’intégration de plu­sieurs peuples à qui l’on deman­de­ra plus tard le même effort. Le vivre-ensemble” à la manière post-moderne est d’abord un vivre avec”, puis un revivre” sous une autre forme fon­ciè­re­ment dif­fé­rente de celle qui fut aupa­ra­vant ; il n’y a pas de volon­té d’assimiler des peuples à notre culture mais bien plu­tôt le pro­jet de tous nous assi­mi­ler, à marche for­cée, à une vision du monde par­tiel­le­ment incon­nue fon­dée sur une uto­pie concep­tuelle dont on ne peut mesu­rer les consé­quences. Il faut se poser une ques­tion se situant au-delà de la pas­sion que pour­rait géné­rer un tel débat : ce pro­jet est-il réa­li­sable et, le cas échéant, est-il sou­hai­table ? Non. »

Gabriel Robin
« Les Tra­di­tions vivantes », inter­ven­tion à la 7ème jour­née de réin­for­ma­tion de Polé­mia, Paris, 18 octobre 2014

Deux conflits ont structuré notre histoire depuis l’origine…

« Pole­mos est le père de toute chose” selon Héra­clite. Deux conflits ont struc­tu­ré notre his­toire depuis l’origine : le conflit Orient/Occident et le conflit Europe/islam. Ce second conflit dure depuis 13 siècles. Et il est rede­ve­nu majeur depuis que les musul­mans ont repris leur marche vers l’ouest et le nord.
Cette confron­ta­tion, il ne faut pas la nier. Il faut y faire face. Et saluer la résis­tance qui se lève à l’est. Dans les pays du groupe de Vise­grád : la Tché­quie, la Slo­va­quie, la Pologne et la Hon­grie bien sûr. La Hon­grie aux avant-postes de la résis­tance au Grand Turc hier et à l’invasion migra­toire aujourd’hui. »

Jean-Yves Le Gallou
XXIe siècle, vers un nou­veau cycle euro­péen ?, allo­cu­tion au cin­quième col­loque de l’Institut Iliade, Paris, Mai­son de la Chi­mie, 7 avril 2018

L’État a toujours été l’acteur acharné du déracinement des Français…

« [C]’est l’État fran­çais qui, par sa poli­tique, ses lois, ses tri­bu­naux, a orga­ni­sé le « grand rem­pla­ce­ment » des popu­la­tions, nous impo­sant la pré­fé­rence immi­grée et isla­mique avec 8 mil­lions d’Arabo-musulmans (en atten­dant les autres) por­teurs d’une autre his­toire, d’une autre civi­li­sa­tion et d’un autre ave­nir (la cha­ria) […] L’État a tou­jours été l’acteur achar­né du déra­ci­ne­ment des Fran­çais et de leur trans­for­ma­tion en Hexa­go­naux inter­chan­geables. Il a tou­jours été l’acteur des rup­tures dans la tra­di­tion natio­nale. Voyez la fête du 14 juillet : elle célèbre une répu­gnante émeute et non un sou­ve­nir gran­diose d’unité. Voyez le ridi­cule emblème de la Répu­blique fran­çaise : une Marianne de plâtre coif­fée d’un bon­net révo­lu­tion­naire. Voyez les affreux logos qui ont été impo­sés pour rem­pla­cer les armoi­ries des régions tra­di­tion­nelles. Sou­ve­nez-vous qu’en 1962, l’État a uti­li­sé toute sa force contre les Fran­çais d’Algérie aban­don­nés à leur malheur. »

Domi­nique Venner
« Lettre sur l’identité à mes amis sou­ve­rai­nistes », www.dominiquevenner.fr, 26 juin 2012

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