« Chaque fois que les règles de l’alternance unique conduisent à confier de nouveau à un pouvoir de gauche le soin de “gérer loyalement le capitalisme”, on peut être sûr que ce dernier ne manquera pas de dissimuler cette gestion libérale sous un flux continu de réformes dites “sociétales” (mariage pour tous, vote des étrangers, dépénalisation du cannabis, lutte contre l’accent circonflexe, etc.). »
Jean-Claude Michéa
Notre ennemi, le capital. Notes sur la fin des jours tranquilles, éditions Flammarion, coll. Climats, 2017