« Le visage de cette contrée était sombre et fantastique : la guerre en avait balayé la grâce et y avait imprimé ses traits d’airain, pour l’effroi du contemplateur solitaire. »
Ernst Jünger
Orages d’acier (In Stahlgewittern), 1920, trad. Henri Plard, éditions Le Livre de Poche, 1989















































