Thème
Citations sur la vie
La lâcheté, c’est d’être banal…
Il était arrivé en même temps aux rhumatismes et à l’aisance…
C’est par son courage qu’un gentilhomme…
« C’est par son courage, entendez-vous bien, par son courage seul, qu’un gentilhomme fait son chemin aujourd’hui. »
Alexandre Dumas
Les Trois Mousquetaires, J.-B. Fellens et L.-P. Dufour éditeurs, 1849
La volonté est un fauve…
« L’esprit oublie vite les souffrances du corps. C’est le ressort de la vie : effacer et recommencer. La volonté est un fauve. Elle réclame sa part de viande : on rêve à un nouveau départ, aussitôt goûté le repos. Quand l’expérience commence à vous dissuader de repartir, c’est que vous avez vieilli. »
Sylvain Tesson
Blanc, éditions Gallimard, 2022
L’esprit d’un peuple…
« Aucune puissance ne peut détruire l’esprit d’un peuple, soit du dehors, soit du dedans, s’il n’est déjà lui-même sans vie, s’il n’a déjà péri. »
Friedrich Hegel
Cité par Alain de Benoist dans L’exil intérieur. Carnets intimes, Krisis / La Nouvelle Librairie, 2022
C’est la guerre…
Je préfère être mort…
« Je préfère être mort qu’exister sans être vivant. »
Alain de Benoist
L’exil intérieur. Carnets intimes, Krisis / éditions La Nouvelle Librairie, 2022
La mort n’est ni une fin ni un début…
« La mort n’est ni une fin ni un début, c’est un accomplissement. »
Alain de Benoist
L’exil intérieur. Carnets intimes, Krisis / éditions La Nouvelle Librairie, 2022
La vie est une flamme…
« Quand la flamme ne brûle plus, elle cesse aussi d’éclairer. La vie est une flamme. »
Alain de Benoist
L’exil intérieur. Carnets intimes, Krisis / éditions La Nouvelle Librairie, 2022
Savoir mourir…
« Savoir mourir relève encore de l’art de vivre. »
Alain de Benoist
L’exil intérieur. Carnets intimes, Krisis / éditions La Nouvelle Librairie, 2022
Conscience, fille de Dieu…
« Conscience, instinct non pas divin mais générosité du cœur, fille de la rage, paroles et fumées qui s’élèvent du sang, fierté qui sort des naseaux furieux, tu es la source de toute pureté et de toute intransigeance, de toi procèdent tout courage et toute révolte. Tu es la petite Antigone qui se lève devant le prince injuste. Tu es la main qui panse les blessures, tu es la sœur bien-aimée qui se penche sur le front des morts sacrifiés. Tu es la consolatrice et la certitude. Tu es la source fraîche à laquelle vont boire les vaincus. Tu es la douceur et le refuge et tu es aussi la déesse qui ne plie pas sous le fouet des hommes. Tu marches devant la mort et sur les genoux, sur tes genoux d’enfant pure, nous cachons notre tête blessée à l’heure où s’approche la Moissonneuse sans regard. Conscience, fille de Dieu, nous déroulerons éternellement devant tes pas le tapis qui mène jusqu’à nos âmes. »
Maurice Bardèche
Sparte et les Sudistes, 1969, éditions Les Sept Couleurs, éditions Kontre Kulture, 2019
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