« Ce qui peut nous sauver, c’est quelque chose comme l’esprit d’une “beauté” qui s’épanche dans notre sang, vivifie notre vie, redonne de l’élan à notre être.
Serons-nous capables d’assumer un jour que c’est de quelque chose de tel qu’il s’agit ?
Serons-nous capables de comprendre que seul un tel dieu peut être celui que nous recherchions ?
Un dieu qui, comme celui de Nietzsche, sache danser.
Un dieu dont la marque du beau, de l’inouï, soit gravée au feu sur son cœur ivre et joyeux. »
Javier Portella
Les esclaves heureux de la liberté, éditions David Reinharc, 2012