« Le beau… qu’est-il donc ? Le beau n’est rien d’autre, disait Goethe, que « le saisissement devant le sacré ». Le saisissement donc devant quelque chose qui a trait avec le divin, mais qui ne se confond pas avec lui. Le saisissement devant quelque chose d’insaisissable… et qui par là même nous saisit, nous ébranle, nous ravit (dans tous les sens du mot). »
Javier Portella
La dissidence par la beauté, allocution au deuxième colloque de l’Institut Iliade, Paris, Maison de la Chimie, 25 avril 2015