« Le sacré : cet élan qui — exprimé dans l’art, manifesté dans la religion, inscrit dans l’espace public d’un peuple — marquait la vie des anciens.
Le sacré : ce battement qui, nous emportant au-delà, nous empêche de nous enfermer dans l’immédiateté de nos travaux et de nos jouissances.
Le sacré : ce noyau de lumière qui, intangible et indéterminable, ne se laisse borner à telle ou telle chose, à tel ou tel être. »
Javier Portella
Les esclaves heureux de la liberté, éditions David Reinharc, 2012