« Ne pas plier dans l’adversité, ne pas s’avouer vaincu, cela distingue un homme. »
Dominique Venner
Le Cœur rebelle, Les Belles Lettres, 1994, réédition Pierre-Guillaume de Roux, 2014
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« Ne pas plier dans l’adversité, ne pas s’avouer vaincu, cela distingue un homme. »
Dominique Venner
Le Cœur rebelle, Les Belles Lettres, 1994, réédition Pierre-Guillaume de Roux, 2014
« Les lieux de paix ne survivent que par les vertus exigées dans la guerre. »
Dominique Venner
Le Cœur rebelle, Les Belles Lettres, 1994, réédition Pierre-Guillaume de Roux, 2014
« Garder son sang-froid peut […] être salutaire : dès que l’adversaire passe aux attaques personnelles, on répond calmement qu’elles n’ont rien à voir avec l’objet du débat, on y ramène immédiatement la conversation, et on continue de lui montrer à quel point il a tort, sans tenir compte de ses insultes, comme le dit Thémistocle à Eurybiade […]. Mais ce genre de comportement n’est pas donné à tout le monde. »
Arthur Schopenhauer
L’Art d’avoir toujours raison (Die Kunst, Recht zu behalten), vers 1830 – 1831, Mille et une nuits édition, 2021
« La guerre est un combat singulier agrandi, et la lutte entre deux hommes est l’image qui permet le mieux à la pensée de se représenter en un acte unique le nombre indéterminé de combats dont une guerre se compose. Or, dans la lutte, chacun des adversaires cherche, au moyen de sa force physique, à terrasser l’autre et à briser sa résistance. La guerre est donc un acte de la force par lequel nous cherchons à contraindre l’adversaire à se soumettre à notre volonté. »
Carl von Clausewitz
Théorie de la grande guerre, trad. Marc-Joseph-Edgar Bourdon de Vatry, Librairie militaire de L. Baudoin et Cie, 1889
« Entraînez vos jeunes garçons à la discipline guerrière. Montrez-leur l’exemple afin qu’en vous voyant, ils s’efforcent de vous ressembler. Qu’ils ne restent pas dans le temps de l’enfance, mais qu’ils naissent maintenant à l’âge adulte. (…) qu’ils quittent le nid et ne se complaisent pas dans l’oisiveté. (…) Imitez donc ce que vous montre la nature. »
Théodoric Ier à tous les Goths
in Documents sur le règne de Clovis, Lettre 24 des Variae, trad. Nathalie Desgrugillers, éditions Paléo, coll. L’encyclopédie médiévale, 2011
« J’ai tous les droits, car, en cette seconde, je connais bien ce que je fais. J’accepte la mort. Ce n’est pas le risque que j’accepte. Ce n’est pas le combat que j’accepte. C’est la mort. J’ai appris une grande vérité. La guerre, ce n’est pas l’acceptation du risque. Ce n’est pas l’acceptation du combat. C’est, à certaines heures, pour le combattant, l’acceptation pure et simple de la mort. »
Antoine de Saint-Exupéry
Pilote de guerre, éditions Gallimard, coll. Blanche, 1942, coll. Folio, 2011
« C’est toujours plus au nord et le long de l’Océan que sont les plus braves combattants. »
Strabon
Description de la Gaule romaine et des peuples gaulois, in Géographie, Livre IV, chapitre IV‑2, trad. Edme Cougny, éditions Paléo, coll. Histoire – Accès Direct, 2010
« Le centurion Philippe Esclavier, du Xème Régiment parachutiste, chercha les raisons qu’il avait d’allumer, lui aussi, des feux pour contenir les barbares et sauver l’Occident. Il pensa : “Nous autres centurions, nous sommes les derniers défenseurs de l’innocence de l’homme contre tous ceux qui veulent l’asservir au nom de la faute originelle, contre les communistes qui refusent le baptême à l’enfant, n’acceptent jamais la conversion de l’adulte et sont toujours prêts à la mettre en doute, mais aussi contre certains chrétiens qui ne pensent qu’à la faute et oublient la rédemption.” »
Jean Lartéguy
Les Centurions, Presses de la Cité, 1960
« Ce qui fait peur, dit le matador, c’est le bruit caverneux que fait le taureau lorsqu’il vide ses poumons à la fin de la charge. C’est un bruit rauque, énorme, profond. C’est un bruit de mort, c’est un bruit qui dit le désir énorme de tuer. C’est un bruit d’autre monde. »
Jean Cau
Toros, éditions Denoël, 1973
« Ils combattaient les félons, les pillards, les sans-parole, les violeurs, les sauvages, les usurpateurs, les ravisseurs, tous ceux qui brutalisaient les faibles, manquaient de courtoisie aux dames et de respect à Dieu. »
René Barjavel
L’Enchanteur, éditions Denoël, 1984
« Ce n’était plus un combat, c’était une incantation religieuse qu’élevaient ces gestes purs. »
Henry de Montherlant
in Corrida, Alain Bérard, éditions Michel Lafon, 2002
« La guerre est un combat singulier agrandi, et la lutte entre deux hommes est l’image qui permet le mieux à la pensée de se représenter en un acte unique le nombre indéterminé de combats dont une guerre se compose. Or, dans la lutte, chacun des adversaires cherche, au moyen de sa force physique, à terrasser l’autre et à briser sa résistance. La guerre est donc un acte de la force par lequel nous cherchons à contraindre l’adversaire à se soumettre à notre volonté. »
Carl von Clausewitz
Théorie de la grande guerre, trad. Marc-Joseph-Edgar Bourdon de Vatry, Librairie militaire de L. Baudoin et Cie, 1889