« Je ne supportais plus la tristesse mortifère de l’homme de lettres, incapable de produire la moindre joie, son inaptitude face à la réalité contemporaine, le profond chagrin qui l’accompagne où qu’il aille, le deuil de la perte de sa culture et la tentative pathétique de sauvegarder les derniers bibelots. »
Giuliano da Empoli
Le mage du Kremlin, éditions Gallimard, 2022