« La mort demeure, quoi qu’il arrive, l’héroïne de la tragédie dont le matador est le héros et à qui elle délègue un ambassadeur extraordinaire, cet animal sacrifié, cet animal sacrifié d’avance, chargé de négocier leurs noces, noces les plus étranges et les plus obscures qui soient. »
Jean Cocteau
La corrida du 1er mai, Éditions Grasset, 1967