« Si le mouvement écologique est une prise de conscience de la démesure technologique, cette conscience devrait s’étendre aux limites inhérentes à la condition humaine et ne pas adhérer aux projets divers mais convergents, qui voudraient s’en prendre à la condition sexuée, à l’énigme de la naissance et à la condition mortelle, qui favorisent le caractère interchangeable de toute chose et de tout être. Je constate aussi qu’une autre branche de l’écologie, qui s’exprime chez les défenseurs de “la cause animale”, manifeste fréquemment une véritable haine de l’humanité. »
Jacques Dewitte
« L’esprit conservateur est le souci de ce qui tient ensemble le monde de manière invisible », Limite, 12 mai 2016