« Et ouvertement je vouais mon cœur à la terre grave et souffrante, et souvent, dans la nuit sacrée, je lui promis de l’aimer fidèlement jusqu’à la mort, sans peur, avec son lourd fardeau de fatalité, et de ne mépriser aucune de ses énigmes. »
Friedrich Hölderlin
La Mort d’Empédocle (Der Tod des Empedokles), inachevé, 1798, trad. Eloi Recoing, éditions Actes Sud, coll. Babel, 2004