« L’écrivain devait selon Patrick Pearse remplacer le conteur d’autrefois, prendre la relève de cette longue suite de bardes populaires et confier à l’imprimerie ce qui ne se transmettait alors que de bouche à oreille. »
Jean Mabire
Patrick Pearse, une vie pour l’Irlande, éditions Terre et Peuple, 1998