« De tous nos jeux, c’est le seul qui risque de bouleverser l’âme, le seul aussi où le joueur s’abandonne nécessairement au délire du corps. Il n’est pas indispensable que le buveur abdique sa raison, mais l’amant qui garde la sienne n’obéit pas jusqu’au bout à son dieu. »
Marguerite Yourcenar
Mémoires d’Hadrien, 1974, éditions Gallimard, coll. Folio, 2014