« La mazurka. Cette reine des danses au rythme ensorcelant qui tisse des figures joyeuses ou langoureuses, appelle des bercements, des suspensions, tours et tourbillons – le deuxième temps, enlevé-sauté, un marchepied vers le ciel ! Comme un ballon ovale dans le quadratique de la piste, un dé pipé sur un tapis de jeu, une course aléatoire contre les obstacles, un mécanisme capricant – haletant. Une langue secrète dans laquelle naît la promesse d’une histoire. Se cisèle un désir. »
Erik L’Homme
Un peu de nuit en plein jour, éditions Calmann-Lévy, 2019