« (…) Ils voyageaient à cheval, à la manière des ancêtres, qui laissaient aux femmes les molles délices de la voiture, et ne s’estimaient que sur ce trône vivant du dos d’un cheval où l’homme est vraiment lui-même, d’où il peut combattre et commander. »
Jules Barbey d’Aurevilly
Un prêtre marié, 1865, éditions Gallimard, coll. Le Livre de poche, 1964