« La défense du sauvage n’est pas une lubie de bobos. Il s’agit de notre capacité immémoriale à évoluer avec tous les êtres vivants, y compris de grands prédateurs. À l’heure de bouleversements majeurs, il est impératif de retrouver des écosystèmes solides, d’abord ceux des plaines où la faune et la flore s’effondrent. »
Stéphan Carbonnaux
« Pour une école de la diplomatie écologique à la française », Éléments n°175, décembre-janvier 2019