« Comparé à l’essai, le recueil de maximes représente quelque chose comme une boîte de bonbons comparée à un repas ordinaire. C’est moins équilibré, moins nutritif, peut-être, mais cela dure plus longtemps, on y revient plusieurs fois… avec, cependant, une différence : les maximes ne gâtent pas les dents, et les petits écrits ne font pas grossir. »
Pierre Gripari
Reflets et réflexes, éditions L’Âge d’Homme, 1983