« Il est possible aussi que, chez les Européens de souche, l’idée de communauté ne puisse renaître que dans le malheur. »
Guillaume Faye
Pourquoi nous combattons – Manifeste de la Résistance européenne, Éditions de L’Æncre, 2001
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« Il est possible aussi que, chez les Européens de souche, l’idée de communauté ne puisse renaître que dans le malheur. »
Guillaume Faye
Pourquoi nous combattons – Manifeste de la Résistance européenne, Éditions de L’Æncre, 2001
« Pourquoi nous combattons ? Nous ne combattons pas prioritairement pour la « cause des peuples », car l’identité de chaque peuple le regarde et ne nous regarde pas, et parce que l’histoire est un cimetière de peuples et de civilisations. Nous combattons pour la cause du destin de notre seul peuple. Même dans l’action politique, culturelle ou métapolitique la plus quotidienne, la plus terre-à-terre (et qui est indispensable), la plus humble, même dans la formulation de programmes pratiques, il faut avoir en tête cet impératif de Grande politique : nous combattons à la fois pour l’héritage des ancêtres et pour l’avenir des enfants. »
Guillaume Faye
Pourquoi nous combattons – Manifeste de la Résistance européenne, Éditions de L’Æncre, 2001
« Jadis prolongement naturel de l’Europe, la civilisation occidentale se retourne contre elle et peut lui être funeste, ainsi qu’aux autres cultures. Devenue système, elle a son centre impulseur aux États-Unis, néanmoins de plus en plus relayé par les autres pays industriels qui véhiculent à leur tour l’américanisme (ou une autre culture « américanomorphe ») culturel ou/et économique. Liée au développement d’un marché mondial elle est aussi bien portée par les régimes libéraux que sociaux-démocrates, compatible avec les États-Providence et le social-étatisme, elle s’inscrit dans l’essor d’un nouveau capitalisme transnational, technocratique et non-patrimonial. »
Guillaume Faye
Pourquoi nous combattons – Manifeste de la Résistance européenne, Éditions de L’Æncre, 2001
« Le bourgeoisisme, qui s’oppose à l’esprit populaire comme à l’esprit aristocratique, domine la société marchande et la civilisation occidentale : morale de l’intérêt, recherche individualiste du bien-être immédiat, réduction du lignage à l’héritage matériel, esprit de calcul, conception négociante de l’existence, ignorance du don, préservation parcimonieuse de la vie, refus du risque et de l’aléa, esprit d’entreprise limité à l’accroissement de richesse, désir de sécurité, tendances cosmopolites, indifférence aux attaches, aux enracinements et aux solidarités avec son propre peuple, détachement envers tout sentiment religieux de nature collective ou gratuite, ignorance complète du sacré. Le petit-bourgeois moderne, figure dominante de la société actuelle, apparaît « branché » mais trahit un extraordinaire conformisme. Il est à la fois la cible et l’acteur principal de l’ahurissement intellectuel et des dispositifs idéologiques de mise-au-pas régentés par le soft-totalitarisme d’aujourd’hui. »
Guillaume Faye
Pourquoi nous combattons – Manifeste de la Résistance européenne, Éditions de L’Æncre, 2001