« Les vérités ne se trouvent pas à la circonférence d’un cercle dont le centre serait l’homme. Les vérités se dressent dans un paysage tourmenté que l’homme parcourt en suivant les méandres d’un sentier sinueux qui les découvre, les cache, et finalement les expose en pleine vue ou les fait disparaître. »
Nicolás Gómez Dávila
Les Horreurs de la démocratie (tiré de Escolios a un texto implícito), 1977, trad. Michel Bibard, Éditions du Rocher/Anatolia, 2003