« Le des­tin du César n’était pas de rame­ner sur la terre un monde à jamais abo­li, mais d’attester de sa péren­ni­té dans le cœur des hommes. Il était venu témoi­gner pour les temps futurs et non rame­ner la lumière. Il n’était point notre mes­sie, mais un monu­ment, un signe du pas­sé. Un ves­tige. Un vertige. »

Ber­nard Ucla
Le Veilleur d’Empire, édi­tions Oli­vier Orban, 1992