« Une telle douleur, si j’ai pu la prévoir, je saurai la subir. » (« Hunc ego si potui tantum sperare dolorem, / et perferre, soror, potero »)
Virgile
L’Enéide, Ier siècle av. J.-C., trad. Paul Veyne, éditions Le Livre de Poche, 2016
Un projet de l'Institut ILIADE pour la longue mémoire européenne
« Une telle douleur, si j’ai pu la prévoir, je saurai la subir. » (« Hunc ego si potui tantum sperare dolorem, / et perferre, soror, potero »)
Virgile
L’Enéide, Ier siècle av. J.-C., trad. Paul Veyne, éditions Le Livre de Poche, 2016
À propos de l'auteur
« Je m’étais assigné une tâche, dont j’ai pleinement admis l’arrogance et qui m’a fait frémir – pour être précis : rendre aux Anglais une tradition épique et leur présenter une mythologie qui leur soit propre –, et c’est une chose merveilleuse que l’on me dise que j’y suis parvenu, au moins auprès de ceux qui n’ont pas encore le cœur et l’esprit enténébrés. »
John Ronald Reuel Tolkien
Lettres (1981), éd. par Humphrey Carpenter et Christopher Tolkien, trad. Vincent Ferré et Delphine Martin, Christian Bourgois éditeur, 2005, n° 180.
« Le gigantisme est un signe évident de sénilité, de fin de cycle. »
Raymond Delatouche
La chrétienté médiévale, un modèle de développement, éditions Téqui, 1989
« L’agriculture est l’éternelle “empêcheuse de tourner en rond” des idéologies. »
Raymond Delatouche
La chrétienté médiévale, un modèle de développement, éditions Téqui, 1989
« La dérive du paysan libre vers le fonctionnariat est générale dans le monde libéral. »
Raymond Delatouche
La chrétienté médiévale, un modèle de développement, éditions Téqui, 1989
« Le paysannat est l’origine nécessaire, l’assise irremplaçable de toute société. Et voilà notre société industrielle qui mesure son expansion à la rareté de ses paysans, autrement dit à sa progression vers la mort. »
Raymond Delatouche
La chrétienté médiévale, un modèle de développement, éditions Téqui, 1989
« Si les Européens finissaient par oublier ce qu’ils sont ou par devenir minoritaires sur leur propre sol, il serait illusoire de croire qu’ils pourraient continuer à y imposer leurs modes de vie, leurs représentations, leurs problématiques, leur être au monde. C’est ce que savent bien ceux qui veulent à la fois « abolir la race blanche » et « détruire l’Occident » au nom du combat contre le privilège blanc. C’est leur but, conscient ou non, assumé ou pas. Ce qui est attaqué, c’est bel et bien tout ce qui fonde l’être de l’Européen, sa culture et, au-delà, les fondements anthropologiques de la possibilité même d’une culture qui lui est propre. »
Georges Guiscard
Le privilège blanc. Qui veut faire la peau aux Européens ?, éditions La Nouvelle Librairie, coll. Iliade, 2021
« Les progressistes blancs battent leur coulpe pour faire leur autocritique et rester du côté des gentils, des « alliés » aux minorités, plutôt que de sembler être dans le camp des racistes. Cette servilité ne leur sera d’aucune aide ; la soumission ne paie jamais et il leur sera demandé toujours plus de contrition. »
Georges Guiscard
Le privilège blanc. Qui veut faire la peau aux Européens ?, éditions La Nouvelle Librairie, coll. Iliade, 2021
« La bien-pensance est un mécanisme puissant. À force de dire quelque chose, on finit par y adhérer. Agissant souvent par pur conformisme, pour ne pas dénoter, les professions de foi finissent par être intériorisées et deviennent de véritables croyances. »
Georges Guiscard
Le privilège blanc. Qui veut faire la peau aux Européens ?, éditions La Nouvelle Librairie, coll. Iliade, 2021