« On la sen­tait dans l’air, l’odeur de la pre­mière neige : une odeur propre, légère, meilleure et plus agréable que celle du brouillard. Je parle du brouillard sain qui arri­vait une ou deux fois par an, au moment du pas­sage des alouettes. »

Mario Rigo­ni Stern
Sen­tiers sous la neige (Sen­tie­ri soto la neve), 1998, trad. Monique Bac­cel­li, édi­tions La Fosse aux ours, 2000