« La beauté du torero est la plus classique : elle suppose élégance, harmonie des mouvements, perfection des formes, équilibre des masses. Le torero crée des formes, œuvres humaines, à partir de chaos – la charge naturelle d’un taureau. Immobile, il met, d’un geste, de l’ordre là où il n’y avait que désordre et mouvement. »
Francis Wolff
50 raisons de défendre la corrida, éditions Fayard, coll. Mille et une nuits, 2010