« La vraie camaraderie a besoin pour se fonder, sans doute d’un travail commun, de quelques espérances communes, voire de quelques dangers communs. Elle a besoin aussi de sympathie, de gaieté et de ne pas se prendre au sérieux. Nous avons eu tout cela, nous l’avons eu avec encore la jeunesse auprès de nous, dans un monde de plus en plus changeant, où notre camaraderie nous paraissait justement un des rares points fixes. »
Robert Brasillach
Notre avant-guerre, éditions Plon, 1941, éditions Godefroy de Bouillon, 2012