« Si l’i­déal che­va­le­resque et la conscience de la chré­tien­té sont sor­tis des croi­sades, la patrie fran­çaise est sor­tie de la guerre de Cent ans. Cette conscience avait déjà tres­sailli dans la chan­son de Roland, où le nom de « douce France » vibre avec une émo­tion par­ti­cu­lière quand les preux, reve­nant d’Es­pagne, aper­çoivent du haut des Pyré­nées les rives de l’Adour. »

Édouard Schu­ré
Les grandes légendes de France, 1892, édi­tions Col­lec­tion XIX, 2016