« Je deviens conscient de la plé­béi­sa­tion du monde, jusqu’à en éprou­ver une souf­france phy­sique. Le pénible des­tin m’est échu de par­ti­ci­per au déclin les yeux ouverts. Contem­po­rain né sur le tard, je vois ce qui s’est per­du et que ceux qui sont nés plus tard ne voient heu­reu­se­ment plus. »

Gre­gor von Rezzori
Mur­mures d’un vieillard, Édi­tions du Rocher, 2008