« Si vrai­ment aucune pierre, aucun sérac, aucune cre­vasse ne m’at­tend quelque part dans le monde pour arrê­ter ma course, un jour vien­dra où, vieux et las, je sau­rai trou­ver la paix par­mi les ani­maux et les fleurs. Le cercle sera fer­mé, enfin je serai le simple pâtre qu’en­fant je rêvais de devenir… »

Lio­nel Terray
Les Conqué­rants de l’i­nu­tile. Des Alpes à l’An­na­pur­na, édi­tions Gal­li­mard, coll. Hors série Connais­sance, 1961