« Face au risque de “grand remplacement”, qui atteint la possibilité même de notre devenir en tant que peuple, nation, civilisation, il faut être radical. C’est-à-dire, étymologiquement, revenir et s’attacher à la racine du problème : le “grand effacement” de notre mémoire et de notre identité, notre culpabilisation, la sommation qui nous est faite de nous couler dans le moule et le flot de “l’homme-masse”, l’homo festivus, indifférencié, déculturé, asexué. »
Grégoire Gambier
Rendre les Européens à l’Europe, et l’Europe aux Européens, 2e colloque annuel de l’Institut Iliade, 9 avril 2016