« Son christianisme était force et vie. Un éveil au sentiment religieux issu de la lâcheté, était à ses yeux chose lamentable. Un silencieux et cordial mépris l’animait à l’égard de la prolifération, aussi bien au front qu’à l’intérieur, du christianisme né de la peur et de la prière, fille de la panique, pratiquée par les poltrons. »
Walter Flex
Le pèlerin entre deux mondes (Der Wanderer zwischen beiden Welten), 1916, trad. Philippe Marcq, éditions ACE, 2020