« Désormais, il n’y a plus dans la communauté que des automates manœuvrés d’en haut, des résidus infiniment petits de l’homme, des âmes mutilées, passives et pour ainsi, mortes. Institué pour préserver les personnes, l’État les a toutes anéanties. Institué pour préserver les propriétés, l’État les confisque toutes. »
Hippolyte Taine
Les origines de la France contemporaine, III – Le régime moderne, 1890