« Il faut que le laurier ait de grandes feuilles vigoureuses et fermes, d’un beau vert sombre et reluisant. Il exprime la victoire enlevée de vive force et par un brusque élan. Et toutefois, cette énergie est gracieuse encore. Il y a une nymphe, une femme, jeune et charmante, emprisonnée dans le laurier, surtout dans les lauriers d’Athènes. »
Charles Maurras
Lettres des Jeux olympiques, 1896, éditions Flammarion, coll. GF, 2004