« Certes, l’entassement de masses humaines, dans les grandes villes modernes, et en grande partie responsable de fait que nous ne soyons plus capables de distinguer le visage de notre prochain dans cette fantasmagorie d’images humaines, qui changent, se superposent et s’effacent continuellement. »
Konrad Lorenz
Les huit péchés capitaux de notre civilisation (Die acht Todsünden der zivilisierten Menschheit), 1973, trad. Élizabeth de Miribel, éditions Flammarion, 1973