« Quand je lis Nietzsche, Schopenhauer, Baudelaire, Pessoa ou même Molière, je me dis souvent que telle phrase, tel paragraphe, aujourd’hui, subiraient la foudre des censeurs. Je pense que les grands écrivains (rien que ce concept de grand écrivain, pour certains, est déjà démocratiquement douteux) s’ils étaient lus, vraiment lus, par l’avant-garde du progressisme, feraient moins les malins. »
Patrice Jean
Qu’un écrivain puisse être en paix avec son temps me paraît vraiment curieux, entretien au Figaro, par Eugénie Bastié, 29 septembre 2017